TestesLibres.net Il faut refaire des hommes libres

Accueil

Actualité du site

G Cazenave

Autres textes

Recherche

Liens

Liste de diffusion

Contact

 

Mise à jour :

 
Les causes de notre débâcle

 

 

Aujourd'hui, je voudrais prendre un peu de hauteur et réfléchir à certaines causes profondes de l'actuelle déroute française.

C'est la réédition d'un livre de Benoist-Méchin qui m'en donne l'occasion : «Ce qui demeure, lettres de soldats tombés au champ d'honneur, 1914-1918» (Bartillat, 274 pages, 2001).

Ce livre m'a serré le coeur et m'a plongé dans un maelstrom de réflexions où j'ai bien du mal à mettre un peu d'ordre. D'abord et avant tout, parce que j'ai vu le jour et grandi dans une France dominée par deux cataclysmes majeurs si proches qu'ils ne faisaient qu'un, le second n'étant qu'un terrible soubresaut du premier : 14-18 et 39-45.

Tous les monuments aux morts, toutes les familles, toute la presse, tous les arts étaient comme aimantés par la Grande Guerre, qui projetait son ombre géante sur tout le pays, sur toute pensée, sur toute conscience individuelle ou collective. Pas une famille qui n'y ait laissé un être cher. Pas un village qui n'y ait laissé les meilleurs de ses enfants.

Objectivement : le génocide français.

Il a été chiffré depuis, notamment par le Général Le Groignec, qui évalue à 8 millions d'hommes d'âge nuptial tués, gravement handicapés ou stérilisés à vie... Sans compter le pays dévasté, l'espace rural façonné par tant de siècles définitivement saccagé et compromis, les patrimoines familiaux détruits, condamnant le pays à l'uniformité économique vers le bas, donc préparant le terrain à l'esclavage.

Nos grand'mères se souvenaient d'une autre grande défaite aujourd'hui oubliée : 1870-71, et nous racontaient le siège de Paris, comment les Parisiens en furent réduits à manger des rats. Elles se souvenaient de l'emprunt souscrit par Thiers, pour payer rubis sur l'ongle et en avance l'énorme indemnité de guerre exigée par Bismarck, cinq milliards de francs-or de l'époque, c'est-à-dire plus de mille tonnes d'or pur... et elles nous racontaient les tranchées, la boue, la Voie Sacrée où elles avaient perdu notre oncle...

Chaque 11 novembre, nos instituteurs nous conduisaient en rangs bien ordonnés, dans un recueillement grandiose et silencieux, au monument aux morts municipal, où ils déposaient tête nue, avec une ferveur muette, une gerbe flamboyante. Le petit vent d'automne triste était la seule musique d'accompagnement, pendant que nous reconnaissions, émus et la gorge serrée, les noms de famille de nos copains de classe gravés en lettres finement dorées dans le marbre du monument... Et le reste de cette journée du 11 novembre se passait à écouter, sur toutes les radios, les musiques militaires de tous les glorieux régiments de France qui avaient interminablement défilé partout dans le pays, et surtout à Paris : Sambre et Meuse... la Marche de la Légion... La Lorraine...

Et notre peuple hébété, la tête encore pleine de cette immense épreuve - l'holocauste français-, n'avait même pas pris conscience de ce qui venait de lui arriver que vingt ans plus tard à peine, une catastrophe finale, une blessure définitive. Il se savait vaguement «vainqueur» sans trop bien comprendre pourquoi ni comment... Les Français payaient leurs achats avec des pièces de monnaie frappées de la devise «Travail, Famille, Patrie» et ornées d'une francisque bien symétrique. Elles ont duré jusqu'en 1960 ! Et je revois les pièces de vingt sous percées au milieu avec lesquelles nous allions nous acheter de menues friandises à l'épicerie près de l'école...

C'est bien connu, les très graves blessures ne font mal qu'au bout de plusieurs heures, et les immeubles lézardés et ébranlés par un tremblement de terre insidieux tiennent debout plusieurs semaines avant de se disloquer progressivement. Eh bien, de même la France des années 45-55 qui vivait encore au rythme de la Grande Guerre ne savait pas qu'elle venait d'être lézardée et blessée à mort. Elle se savait vraiment victorieuse en 1918, et on lui disait qu'elle l'avait encore été en 1945, elle ne cherchait pas plus loin et ne pensait qu'à revivre, à en finir avec les rationnements, à reconstruire ce qui pouvait l'être. Elle ne savait pas que les séquelles de 39-45 allaient l'empoisonner pendant les cinquante ans à venir, jusqu'à la décomposition finale qui se déroule actuellement sous nos yeux...

Pour l'heure, elle s'était provisoirement redressée, dans un ultime sursaut de vitalité. Dans un ou deux siècles, l'Histoire, la vraie, dira que ce sursaut fut dû pour partie à l'action de la Révolution Nationale de 1940 à fin 1942, et pour partie à la décision historique, prise par Vincent Auriol, Léon Blum et l'état-major plus ou moins occulte issu du CNR (Conseil National de la Résistance) de rompre avec les communistes pour leur préférer le Plan Marschall (décision prise en 1947, aussitôt suivie du vidage manu militari des communistes par Ramadier et Jules Moch).

Pourquoi donc le livre de Benoist-Méchin remue-t-il tous ces souvenirs en moi ? Parce que j'y lis, à livre ouvert, les causes profondes de notre débâcle. Ces causes sont morales et intellectuelles et non économiques. Car les communistes se trompent lourdement, ce n'est pas l'économie qui commande l'Histoire et sécrète la morale et l'activité intellectuelle comme de vils sous-produits : c'est l'inverse ! C'est bel et bien la morale et l'intelligence qui façonnent l'histoire et engendrent l'économie. Cette erreur tragique est, hélas, partagée par de nombreux capitalistes qui n'ont rien compris et ne comprendront jamais rien, et c'est ce qui explique cette honteuse collaboration de nos «droites courbes» avec le marxisme : les uns et les autres ne comprennent pas que la matière n'est rien sans intelligence pour la transfigurer !

Que vaudrait le pétrole si Drake n'avait jamais pensé à une méthode pour le pomper ? Au Texas, avant Drake, celui qui héritait un champ pollué de naphte s'arrachait les cheveux : jamais il ne pourrait élever de vaches sur son maudit terrain...

Que vaudrait la pechblende si Pierre et Marie Curie, Planck, Bohr, De Broglie, Fermi et Einstein n'avaient pas vécu et pensé ? Qu'aurait valu le tungstène sans Edison ? La minette sans Bessemer ? Marxistes et capitalistes pervertis sont incapables de dépasser l'horizon du commerçant, la différence entre prix d'achat et prix de revient, et la dégradante dispute comme des chiens pour se partager cette «plus-value»...

Donc pour voir les choses de haut, il faut remettre la morale et l'intelligence à leur vraie place : la première. C'est dans cet état d'esprit que j'ai lu le llivre de Benoist-Méchin et c'est pourquoi il m'a donné un véritable coup de poing. Car il m'apparaît clairement que notre actuelle déroute est la conséquence de tragiques erreurs morales et intellectuelles qui viennent de très loin.

Je ne prendrai qu'un exemple, qui suffira à lui seul tellement il est emblématique. La lettre du soldat Hardy, un enfant de l'Assistance Publique. Il craint de mourir avant d'avoir pu remercier son commandant pour l'envoi d'un oeuf de Pâques.

«Mon commandant, ayant une mission, petite, il est vrai, mais assez hasardeuse, le lieutenant m'a fait l'honneur de m'y envoyer ; c'est donc sans déplaisir que je pars, car c'est plutôt ma place qu'à n'importe lequel. Mais comme il se peut que j'y reste, je vous remercie, ainsi que Mlle Y., d'avoir pensé à m'envoyer un oeuf de Pâques. Aussi, mon commandant, permettez-moi de vous remercier. En avant ! Vive la France ! Si vous recevez cette carte, c'est que je serai tombé pour toujours. En avant quand même !»

Chers amis, lisez et relisez cette lettre, et pénétrez-vous de sa sublime noblesse d'âme ! De la part d'un enfant de l'Assistance Publique ! De la grandeur de cette simplicité ! Pesez le contraste avec ce que nous voyons autour de nous aujourd'hui, la racaille, les politiciens véreux, la démagogie au niveau de la fange, la méchanceté partout, la cruelle mesquinerie fiscale, la hideur de la solidarité obligatoire, qui ne peut déboucher que sur la haine universelle...

Après quoi, libérez-vous de la beauté ensorcelante du texte et réfléchissez plus loin. ce qui saute aux yeux alors, ainsi que dans tout le reste des lettres, c'est ceci : CE SONT BIEN LES MEILLEURS QUI SONT PARTIS DANS CETTE GUERRE.

L'erreur tragique est là et pas ailleurs : on a appliqué une suicidaire morale du sacrifice. Depuis Henri IV au moins, la France avait été un inépuisable réservoir d'hommes. Les femmes faisaient couramment sept ou huit enfants pour qu'il en reste deux ou trois vivants, le pays était plus peuplé que le reste de l'Europe utile. Les succès de Carnot et Napoléon sont dûs à cette vitalité démographique. Le déclin de 1815 à aujourd'hui coïncide avec celui de cette vitalité, qui voit notre population «de souche» (ce qu'on pourrait appeler «la race française») pratiquement stagner depuis Louis-Philippe.

Or, parallèlement à ce déclin, on maintient et même on exacerbe une morale publique du sacrifice pour lui-même, aussi bien à droite qu'à gauche : les odes de Victor Hugo à nos pitoyables «sans-culottes» valent bien celles de Vigny aux soldats du Roy dans son fameux « Servitude et grandeur militaires»...

On envoie sans mollir des jeunes gens à la mort, la mort absurde, inutile, considérée comme belle parce qu'inutile. Version dévoyée des «conquérants de l'inutile» qui dépouille l'être humain de toute velléité de construire un avenir, puisque la mort peut survenir d'un instant à l'autre, comme à la roulette russe (en 1914, c'était plutôt la roulette belge : chargeur plein !). Gérard Depardieu, dans sa remarquable réalisation du «Colonel Chabert» à l'écran, a génialement dépeint cette absurdité, dans sa reconstitution d'une charge de cavalerie napoléonienne, au début du film; il montre avec un réalisme implacable les derniers instants d'un beau jeune homme blond aux yeux bleus, divinement beau dans son bel uniforme bleu comme ses yeux qui regardent déjà l'au-delà, au ciel, après cette charge funeste...

On prête à Nivelle ce mot : «J'en aurai consommé, des Bretons, pendant cette guerre !». Et à un politicien socialiste, adjoint de Viviani, le Président du Conseil socialiste de la déclaration de guerre d'Août 14 : «Après tout, cette guerre ne nous coûte jamais que deux mille hommes par jour !».

Nivelle battit tous les records : en DEUX JOURS, les 16 et 17 avril 1916, il réussit à faire tuer CENT CNQUANTE MILLE SOLDATS FRANCAIS ! La fameuse «offensive Nivelle»... Après laquelle, heureusement, on le remplaça par Pétain pour stopper l'hémorragie...

Que mes lecteurs ne s'y trompent pas : je ne dénigre pas l'esprit de sacrifice, les vertus fondamentales des sentiments d'abnégation, de dépassement de soi, de loyauté, de droiture, de sens du devoir, bref de tous les sentiments magnifiques exprimés dans la lettre que j'ai citée.

Mais le sacrifice, à mes yeux, n'a aucune valeur EN SOI. La valeur en soi du sacrifice, c'est la substance même de l'hérésie janséniste, qui empoisonne toutes les élites françaises depuis Port-Royal. J'y vois l'oeuvre maudite du Diable. C'est l'idéologie de la mortification. J'en suis désolé pour Blaise Pascal, dont j'ai lu attentivement les Provinciales (entre autres), mais entre lui et le père Sanchez qu'il vilipende, c'est le père Sanchez qui a raison, mille fois raison.

Le sacrifice n'a de sens que s'il a une UTILITE. Envoyer toute une jeunesse au massacre en lui louant la vertu du don de soi pour elle-même, sans autre perspective, c'est bien plus qu'un crime, c'est une erreur. Le seul vainqueur dans l'affaire, c'est la mort. On peut se sacrifier si c'est le seul moyen rationnel de concourir à la réalisation d'un but collectif ou individuel, et il faut y être moralement prêt, il faut bien entendu en être capable. Mais le vrai courage, c'est de ne pas se sacrifier inutilement.

Tout récemment, j'ai été frappé par le récit d'une dame qui a failli mourir dans un accident. Elle a réussi à sauver sa vie alors qu'elle venait d'avoir l'artère parotide sectionnée (ce qui lui laissait à peu près 15 minutes à vivre). Je lui ai demandé : «Mais comment avez-vous fait pour vous en sortir ?». Elle m'a répondu : «J'ai pensé à ma fille, à mon mari qui a le cancer, à ceux que j'aime, et je me suis dit : ma fille, tu n'as pas le droit de mourir, il y a trop de personnes qui ont besoin de toi !». Elle s'est fait une compresse avec du papier et a marché des centaines de mètres, la main collée à son cou, jusqu'à ce qu'elle rencontre un automobiliste charitable qu'elle a prié de la conduire à la clinique la plus proche : une énergie vitale inimaginable...

Mais ce que des gens simples et vrais, des purs représentants de notre peuple, comprennent, nos soi-disant élites ne l'avaient pas compris, ni en 1870, ni en 1914, ni même en 1945, où la mauvaise charge d'Yves Gibeau à la fin de son célèbre «Allons z'enfants» n'est pas tellement fausse. Ces «élites» ont envoyé au casse-pipe la fleur de notre jeunesse sans autre justification que le sacrifice pour le sacrifice, ou pour un patriotisme dévoyé en abstraction. Il ne s'agissait pas de lutter pour la survie et l'identité quand Nivelle décida son offensive criminelle : il s'agissait de tenter une nouvelle tactique, sans souci du «coût humain», sans sentir son coeur défaillir en lisant des lettres comme celles de l'enfant Hardy de l'Assistance Publique. Bref, pour rien !

On se moque volontiers de la «guerre presse-boutons» que mènent les Américiains partout où ils la font. Peut-être, mais une chose est claire : au moins, eux, ils reviennent vivants de leurs missions ! Et donc, ils peuvent en accomplir d'autres ! À quoi sert la magnifique mort de nos Saint-Cyriens en casoar et gants blancs, quand ils se sont fait tirer comme des lapins par les Allemands ? La réponse nous est donnée par cette dame que j'évoquais plus haut : non seulement cette mort ne sert à rien, mais elle est criminelle, quelque part. Le vrai héroïsme, moi, je le vois dans sa merveilleuse réponse : «J'ai pensé à ma fille, à mon mari qui a le cancer, à ceux que j'aime, et je me suis dit : ma fille, tu n'as pas le droit de mourir, il y a trop de personnes qui ont besoin de toi».

Tsahal, tant décriée, n'est pas tombée dans cette erreur philosophique mortelle : c'est une armée où l'on félicite en priorité absolue ceux qui ont su conserver leur vie. Tout le contraire de l'idéologie de Nivelle, dont notre pauvre soldat Hardy était tout imprégné...

Le sacrifice pour le sacrifice est aussi idiot que la solidarité pour la solidarité que nous appliquent aujourd'hui les socialistes du berceau à la mort. Le fond de la pensée est rigoureusement le même, un fond janséniste, c'est-à-dire un fond de désespérance, une impasse intellectuelle totale. La vie ici-bas n'a aucun sens, elle ne vaut pas la peine, plus tôt on en sera débarrassés et mieux cela vaudra. Seul l'au-delà vaut la peine, et l'au-delà ne dépend pas de nous, il dépend d'une roulette russe que nous ne maîtrisons pas, voilà ce que nous disent Pascal et les jansénistes. Dès lors, à quoi bon échafauder des projets terrestres ? «Tout va à la mort» (citation de Staline), «La vie et la mort ne comptent pas» (citation du boucher le Général Giap), vous voyez, les staliniens les plus horribles sont bien d'accord avec Pascal ! Et Nivelle, Viviani et consorts ne pensaient pas autrement !

On voit donc que cette idéologie du sacrifice pour lui-même et du renoncement à soi-même a été imposée à grande échelle aux meilleurs de ses fils par ceux qui dirigeaient la France depuis 1789, et a été poussée à ses dernières extrémités.

Dès lors, comment s'étonner que nous en récoltions les fruits ? Le renoncement à la vie, la croyance intime qu'elle n'a pas de sens, conduisent forcément à la mort collective plus ou moins lente, et donc à notre remplacement par d'autres peuples qui croient plus que nous que la vie vaut quand même la peine !

Ne croyez surtout pas que les socialistes actuels sont différents de ceux qui ont envoyé sans défaillir des générations entières au sacrifice inutile depuis 150 ans. Ils continuent dans la même voie, sous d'autres formes mais avec le même fond janséniste, la même philosophie du désespoir, la même cruauté. Le sacrifice inutile, aujourd'hui, est économique; le but de l'impôt n'est pas le progrès, mais le sacrfice pour lui-même. Le socialiste ne vous dit pas : «l'impôt que je lève servira à améliorer nos hôpitaux ou à construire des piscines», non, il vous dit : «l'impôt doit être levé parce qu'il est juste en soi de payer des impôts, par devoir de solidarité». La solidarité pour elle-même, sans autre but positif, a remplacé la conception absurde du patriotisme stérile qui envoya des centaines de milliers de soldats Hardy à la mort.

Les généraux Nivelle distribuaient de la gnôle avant les assauts qui fauchaient nos jeunes gens les meilleurs. Leurs dignes descendants socialistes leur distribuent de la drogue pour supporter l'environnement désespérant et l'absence totale d'espoir de promotion sociale auquel elle les condamne, pour ainsi dire de droit divin («Tu n'auras pas le droit d e te promouvoir socialement parce que c'est contraire à notre religion de l'égalité»).

Les généraux Nivelle prenaient soin de faire tuer en priorité les meilleurs. Pour en être bien sûrs, ils peaufinaient les conseils de révision : pour être bon pour la mort idiote, il fallait être le mieux fait possible, le plus intelligent possible, et être pourvu du plus possible de qualités morales. Pendant ce temps-là, c'est peu connu mais c'est vrai, les allemands, moins bêtes, faisaient le contraire : ils planquaient au maximum les meilleurs et envoyaient au casse-pipe le plus possible de leurs rebuts d'humanité.

De même, les descendants socialistes des Viviani et Nivelle matraquent tout ce qui dépasse avec leur gros bâton fiscal. Ils punissent le travail comme les généraux idiots envoyaient crever les meilleurs.

Tout ce qui précède ne fait aucun doute. Donc la grande question, la seule question, est la suivante : d'où nous vient cette mentalité janséniste (directement issue de l'hérésie cathare, soit dit en passant) qui a abouti au génocide français du vingtième siècle et qui continue à prédominer dans la classe dirigeante française ? Pour en avoir une idée, il faudrait déterminer à partir de quand elle s'est imposée. La date de 1791 est tentante, mais le ver n'était-il pas déjà dans le fruit à cette époque ?

Une fois cernée cette origine, restera à définir une stratégie pour éradiquer cette idéologie et tous ses sous-produits : marxisme, socialisme, trotskysme, capitalisme dévoyé, etc.

C'est là un autre débat, pour lequel j'espère un dialogue enrichissant avec mes lecteurs.

 
haut de page