Ça commence à nous pomper l'air, cette histoire
de moratoire sur la "dette du tiers-monde"!
Il est temps de démonter ici le mécanisme par
lequel les mondialistes se font du blé sur le dos du
franchouillard de base par pleurnichages tiers-mondistes interposés.
Voici ce mécanisme bien dans la tradition de nos grands
habiles, et qui va marcher tant qu'on maintiendra nos compatriotes
dans l'état d'inculture où on les a mis sciemment.
Pour bien le comprendre, il faut d'abord se pencher un peu
sur la structure de notre commerce extérieur. Nos dirigeants,
dans une unanimité émouvante (vraie gauche et
fausse droite) chantent volontiers les magnifiques performances
de la France à l'exportation. Mais à y regarder
de près, il ne s'agit là que d'un décor
en carton-pâte. En effet, un examen serré montre
que si l'on classe les pays où nous exportons en deux
groupes, les pays solvables donc rentables, et les pays insolvables,
il n'y a pas de quoi se vanter ! Notre solde avec le groupe
des pays solvables (Amérique du Nord, Allemagne, Angleterre,
Japon...) est tragiquement déficitaire, tandis que
notre solde avec les pays insolvables (tiers-monde, éternels
pays d'avenir d'Amérique du Sud, etc.) est flatteusement
excédentaire.
Alors passons au mécanisme maintenant :
Phase 1 : nos dirigeants concluent des contrats mirifiques
avec tel ou tel pays du tiers-monde : un métro ici,
une université pharaonique en plein désert,
une usine clés en mains au fin fond d'une brousse impossible,
etc. Les journaux de l'Hexagone donnent de la grosse caisse
et la radio-tv résonne de cocoricos presque aussi perçants
que lorsqu'un zizi d'âne trébuche sur un ballon
sur une pelouse.
Phase 2 : mais comme le pays en question n'a pas le premier
centime (fût-il CFA) pour nous payer, la France, grande
et généreuse, lui prête l'argent pour
nous payer. Même la Chine populaire mange de ce pain-là
: il y a quelques années, elle nous a ainsi payés
une gros livraison d'avions militaires grâce à
de l'argent que nous lui avons prêté.
Ici une parenthèse : d'où vient-il, cet argent
que nous prêtons pour être payés ?
Alors là, big mystère ! Du moins sur les circuits
obscurs et complexes par où il transite. Mais son origine
ne fait aucun doute, à cet argent : c'est l'argent
du peuple français, de vous, de moi, celui prélevé
à la source pour soi-disant nourrir le Moloch de la
Sécurité Sociale, ou demandé avec insistance
par votre percepteur. Il y aurait tout un travail de titan
à mener pour débrouiller l'écheveau...
Un travail auquel le camp national, s'il revient aux responsabilités,
devra s'attaquer sans délai.
Remarquez bien que cet argent, les consortiums qui ont exécuté
les travaux pharaoniques le perçoivent donc immédiatement.
Ils n'ont aucun motif de se plaindre et ne se plaignent pas.
Tout va bien : eux, ils sont payés tout de suite comme
si le pays en question était riche et solvable... et
une fois l'argent encaissé, le consortium s'efface...
La suite, ce n'est plus ses oignons !
Phase 3 : le pays débiteur, après quelques
remboursements d'annuités de façade (souvent
avancées par le gouvernement français, comme
pour le principal...), éprouve les plus vives difficultés
à poursuivre ses paiements. Alors les dirigeants français
organisent des réunions impressionnantes avec ceux
des pays débiteurs, "décrètent des rééchelonnements"
(nos bourges n'ont pas leur pareil pour créer des euphémismes...),
autrement dit pour remettre à plus tard le remboursement
qui ne peut être effectué tout de suite. En même
temps, un peu partout, on commence, comme par hasard, à
entendre des voix qui dénoncent le garrot inhumain
de la dette du tiers-monde. Ces lamentations, d'abord timides
et discrètes, s'affermissent rapidement.
Phase 4 : des pleureuses professionnelles, sans doute commanditées
en sous-main par des gros intérêts financiers,
mènent une campagne ouverte et vigoureuse contre la
terrible exploitation du tiers-monde par "la dette". De gros
journaux prennent le relais, des bonnes femmes éplorées,
du genre Emmanuelle B., viennent nous attendrir à la
radio-tv sur ces pauvres petits noirs qui "meurent de faim".
L'usine à fabriquer la mauvaise conscience tourne à
plein régime ! Partout, vous voyez de misérables
chiards pendus au sein de leur mère squelettique dans
quelque coin désolé du Sahel...
La phase 4 peut soit déboucher rapidement sur un "moratoire"
prononcé avec des trémolos dans la voix par
le chef de l'Etat lui-même, soit se calmer et revenir
de manière récurrente un certain nombre de fois.
Disons que ça dépend en grande partie de la
conjoncture électorale...
Le moratoire, c'est la bonne affaire pour tout le monde sauf
le cochon de payant français qui avait financé
le prêt initial permettant au pays débiteur de
payer les consortiums, et qui se retrouve à son corps
défendant dans la peau d'un généreux
donateur.
Le bilan final de ce circuit un peu spécial où
la lubrification est assurée par la larme populaire
promue tribut à la mauvaise conscience, c'est que le
contribuable français a financé de sa poche,
à fonds perdus, l'argent versé aux consortiums
pour leur régler les travaux pharaoniques en plein
désert.
Vous croyez que j'exagère ? Savez-vous que la plus
belle université du monde, d'après ce que m'a
révélé un éminent chercheur du
CNRS qui a vécu là-bas 20 ans (et en a ramené
une épouse), se trouve en plein désert, au Sénégal,
et n'a à peu près aucun étudiant digne
de ce nom ? Ce sont les con-tribuables français qui
l'ont payée, par le mécanisme ci-dessus exposé...
Evidemment, si les consortiums disaient tout uniment aux
Français : «On vous demande de consentir un impôt
pour financer les contrats que nous passons avec les pays
insolvables parce que nous sommes incapables d'en passer avec
des pays solvables développés», ça
ne marcherait pas ! Entre deux semaines des quatre jeudis,
il y en a peut-être qui risqueraient de râler...
enfin, un peu... Il risquerait d'y avoir un ou deux articles
dans des journaux... on ne sait jamais... C'est pourquoi il
est essentiel de faire donner les grandes orgues médiatiques
pour accompagner le choeur des pleureuses sur l'injuste sort
réservé aux pauv'z'enfants du tiers-monde !
On comprend donc très bien, maintenant, pourquoi les
plus zélés défenseurs de la veuve et
de l'orphelin du tiers-monde (surtout pas du Français
sdf qui en bave...) sont les représentants qualifiés
des plus riches de nos consortiums !
Il ne viendrait à l'idée de personne de recommander
à ces chefs d'orchestre occultes du choeur des pleureuses
de mettre la main à leur propre poche pour soulager
les misères du tiers-monde qui les émeuvent
tant... Par exemple, en renonçant aux plantureuses
prestations qu'ils se consentent à eux-mêmes
sur l'argent de ces fabuleux contrats qu'on va signer avec
des pays fauchés comme les blés...
Les solutions ?
Chez les bien-pensants de gauche d'aujourd'hui, c'est-à-dire
cette masse visqueuse, invertébrée, tentaculaire,
protéiforme aux exhalaisons doucereuses obtenues en
mélangeant intimement les idéologies du quotidien
vespéral immonde, du Canard plus enchaîné
que jamais (à la gauche), du catholicisme de gauche
façon Témoignage Chrétien mâtiné
de "La Croix" bénie par Mgr Gaillot, entre deux homélies
de la CFDT, on ne manque pas d'idées ni d'aplomb !
La meilleure illustration de ce qui va suivre nous est fournie
par le mouvement perpétuel en vigueur dans notre université
: on fabrique des tonnes de diplômés en "sociologie".
La sociologie, c'est très difficile à définir
de manière rigoureuse : forcément, si ça
se concevait bien, ça s'énoncerait clairement
et les mots pour le dire arriveraient aisément !
J'ai eu beau chercher, je n'ai pas d'autre définition
que celle-ci : la sociologie, c'est ce qu'étudient
les étudiants en sociologie. Donc on en fabrique par
dizaines de milliers. Dommage que ce ne soit pas un article
d'exportation, ça améliorerait fichtrement notre
balance commerciale avec les pays développés
!
Et quel est le débouché des diplômés
frais émoulus de "sociologie" ? Pour cinq pour cent
d'heureux élus, le journalisme à Libé
(bonne place, les déficits sont comblés directement
par les capitalistes !) ou à "La Croix", ou à
n'importe quel autre quotidien de la pensée unique
(seul le titre varie, en fait, ce sont tous des éditions
régionales du même unique quotidien). Pour les
plus chanceux, une petite place dans l'univers doré
du chohoubize-télé (mais là, comme disait
Palmade, si on n'est pas vraiment doué, faut coucher...).
Pour les 95 autres pour cent, le débouché, c'est
bien entendu l'enseignement de la sociologie. Ainsi, dans
cette matière à esbroufe comme en pas mal d'autres,
le système de l'Education Nationale se comporte exactement
comme un Catoblépas : il se nourrit de lui-même...
C'est d'ailleurs à cause de cette particularité
bien française et surtout bien socialiste que la France,
avec HUIT FOIS PLUS d'étudiants que l'Angleterre, obtient
moins de deux fois moins de prix Nobel ou médaille
Fields dans les disciplines sérieuses : Médecine,
Physique, Chimie, Mathématiques, Histoire (au sens
scientifique, non idéologique, du mot)...
Mais revenons aux "solutions". Solutions à QUOI ?
Voyons ça de près.
Phase 1 : on pond des lois et règlements. Il y en
a déjà plus de 600 000 en France. Ces lois sont
votées par moins de dix députés en séance,
et ne sont lues par personne, sauf de temps en temps les avocats
qui en ont besoin pour gagner leur croûton. Par exemple,
pour en rester à ce qui nous occupe ici, on pond une
énième loi sur l'immigration. C'est-à-dire
qu'on fait comme si on considérait que le pays a des
frontières et est fondé à ne pas laisser
venir s'installer sur son sol n'importe qui. On pond donc
des lois et règlements précis, tatillons même,
revus par le Sénat, par des "hommes de loi" et tout
et tout...il n'y manque pas un bouton de guêtre.
Phase 2 : malgré les lois, de nombreux immigrés
entrent clandestinement en France, donc d'après les
lois même que l'on vient de voter et pour lesquelles
on a payé à prix d'or nos représentants,
des "spécialistes", des sénateurs, des mecs
qui signent les arrêtés d'application dans des
bureaux, EN SITUATION D'INFRACTION, DE DÉLIT.
Phase 3 : ces immigrés clandestins s'évanouissent
dans le territoire français. Personne ne les voit,
personne ne les recherche en tout cas. C'est tout juste si
on en parle. Ceux qui en parlent trop se font agonir de noms
d'oiseaux peu flatteurs... pépédéah et
mémédéah ne vous en parlent pas...
Phase 4 : petit à petit, les disparus refont surface...
un peu partout... ateliers clandestins... hôpitaux...
manche... quémandeurs nouveaux aux bureaux de Sécurité
Sociale...
Phase 5 : des "associations humanitaires" s'émeuvent.
Non pas que le pays ait sur les bras des centaines de milliers
de personnes entrées illégalement, non, foutre
non ! mais au contraire, pour ordonner aux Français
d'ouvrir leur grand coeur à toutes ces détresses
nouvelles (dont ils ne sont pas la cause), de pleurnicher
sur tous ces petits enfants (entre deux votes pour autoriser
les filles citoyennes légales du même pays à
avorter comme elles veulent, où elles veulent et quand
elles veulent).
Qu'un débat s'esquisse, et hop ! on fait donner les
grandes orgues antiracistes, les officines spécialisées
(dont on se demande parfois si elles ne sont pas le vrai gouvernement)
pour rejeter les poseurs de questions gênantes dans
les ténèbres des heures-les-plus-sombres...
Phase 6 : le gouvernement prend le relais des assoces et
des officines. Des députés, ceux-là même
qui ont voté, pour de grasses prébendes, les
lois de la République concernant l'immigration quelques
mois plus tôt, demandent bruyamment aux Français
qu'ils "représentent" de "se mobiliser" et au gouvernement
"d'agir"...
"Agir"... langue de bois qui signifie : prendre toutes dispositions
pour entériner l'illégalité constatée,
en infraction avec les lois encore en vigueur, mais déjà
mortes avant d'avoir été appliquées si
peu que ce soit, puisque pour entériner, il va justement
falloir les changer, c'est-à-dire les abroger et les
remplacer....
Absurde ? pas tellement ! Car il y a tout de même un
schmilblick qui a avancé dans l'affaire : c'est la
situation du député ! pour faire ces lois, il
a fallu le payer grassement ! et pour les défaire afin
d'entériner, il a fallu le repayer...
Pas plus absurde que les étudiants en sociologie dont
l'unique débouché est l'enseignement de la sociologie...
Pas plus absurde que ce vieux principe de Pierre Lazareff
:"une information suivie d'un démenti, ça fait
deux informations !"...
De même, pour nos députés, "une loi suivie
d'une contre-loi, ça fait deux lois, et ça justifie
notre existence !"
Phase 7 : une fois l'illégalité entérinée
de fait, on paie des gens pour venir expliquer ça au
bon peuple. C'est ainsi que la France devient peu à
peu un immense champ de rééducation (bientôt,
on pourra enlever une lettre au substantif jouant le rôle
de nominatif dans cette phrase...). N'ai-je pas raison ? les
officines spécialisées ne passent-elles pas
leur temps à nous éduquer ? et ne rêvent-elles
pas de rééduquer ceux qui leur résistent
? ces néo-trotskystes, à vrai dire, ont adapté
aux circonstances présentes le précepte de base
de leur vieux maître à la barbiche pointue et
au piolet dans la nuque, en remplaçant la révolution
permanente par l'éducation permanente...
Parallèlement à la rééducation
permanente, comme il faut bien rassurer les Français,
qui voient avec consternation leur niveau de vie s'effondrer,
leur sécurité se dégrader, leurs charges
grimper et leur industrie foutre le camp. Alors on paie d'autres
mecs pour venir "proposer des SOLUTIONS". des solutions aux
problèmes que l'on a sciemment laissé apparaître,
et que l'on a moralement interdit aux Français de résoudre
par la seule méthode légale valable, la seule
légitime, efficace et définitive : le renvoi
immédiat, sans exception, de tous les immigrés
entrés clandestinement sur notre territoire, et des
sanctions exemplaires contre ceux qui les avaient aidés
à entrer.
Au lieu de ça, les mecs chargés de rassurer
une fois que les autres mecs ont entériné viennent,
la main sur le coeur et le fouet antiraciste à la main,
nous expliquer qu'il faut de nouveaux impôts pour nommer
de nouveaux professeurs (de sociologie ?) en plus grand nombre
pour tous ces pauvres gens, des crédits, toujours plus
de crédits, pour améliorer leur cadre de vie,
de l'argent, toujours plus d'argent, pour donner généreusement
à ces pauv'z'enfants, n'est-ce pas, ce qu'on ne donne
que du bout des lèvres aux enfants légaux de
France...quand on le donne...comme ces sdf de France actuellement
refoulés des centres de secours prévus initialement
pour eux, mais que l'on remplit à ras bord de demandeurs
d'asile dont le nombre explose....
LES VRAIES SOLUTIONS
Redescendons sur terre. Moi, je vais en proposer d'autres,
de solutions : renvoi immédiat de tous les étrangers
entrés clandestinement dans notre pays !
Où, me direz-vous ? Tartufes ! Ceux qui posent la
question sont souvent ceux-là même qui ont conseillé
à ces clandestins de détruire toute trace susceptible
d'indiquer la nation d'où ils viennent.
Car ce qui est sûr, c'est ceci : ILS VIENNENT BIEN
DE QUELQUE PART !
Et ce qui est encore plus sûr, c'est ceci : leur effarante
progéniture, nous autres Français, nous n'en
sommes ni les pères ni les mères ! De quel droit
nous demande-t-on de financer leur entretien et leur éducation
?
Si on ne sait pas "d'où ils viennent", c'est PARCE
QU'ON NE VEUT PAS LE SAVOIR.
A qui fera-t-on croire qu'un pays capable de dénicher
un vieillard cacochyme au tréfonds de l'univers sous
prétexte de sa conduite pendant le dernier conflit
mondial il y a 58 ans, serait incapable de savoir, s'il s'y
décidait, d'où viennent les immigrés
clandestins ICI ET MAINTENANT, et comment ils viennent ?
Passeport perdu ou pas perdu, si nous savons avec certitude
de quel aimable pays vient une telle personne, il est aisé
et légitime de l'y renvoyer !
Moi, si je reste plus longtemps que prévu au Canada
ou aux USA quand je vais y TRAVAILLER, c'est ce qu'on va me
faire illico ! sans aucun égard pour mes diplômes,
ma moralité ni même ma connaissance de l'anglais
! ça ne va pas traîner ! on me prévient
à chaque fois d'ailleurs, quand on me fait passer au
bureau de l'immigration, à l'aéroport de Montréal-Mirabel
de Toronto, de New-York-Kennedy ou de San Francisco ! car
on m'y fait passer à chaque fois !
Et je crois savoir que dans certains petits pays du Moyen-Orient,
c'est encore pire !
Alors, de qui se moque-t-on avec ces fausses solutions à
de faux problèmes ?
Et je vous fiche mon billet que ma solution à moi
rétablirait le calme vite fait dans nos fameuses "zones
de non-droit" ! sans impôts supplémentaires,
ni profs de sociologie.
Car je le répète, ces zones de non-droit sont
totalement artificielles, presque voulues. Il n'y en a pas
en Espagne, ni en Allemagne (qui a pourtant, cette dernière,
une forte population immigrée) ! chez nous, elles n'existent
que parce que le sentiment d'impunité est total. Les
discours de fermeté les font rire ! ils y répondent
par de nouveaux incendies le soir-même ! ce en quoi
ils sont fins psychologues : s'ils y répondent de cette
façon narquoise, ce n'est pas, comme le croient tous
les pleurnichards des fausses solutions, pour protester contre
les soi-disant mauvaises conditions de vie qui leur seraient
faites ! c'est pour bien montrer à ceux qui prétendent
gouverner ce pays combien ils les méprisent, combien
ils savent que leurs paroles de fermeté ne sont que
poudre aux yeux ! c'est une façon de répondre
:"ha ! ha ! tu as dit ça ? et bien chiche, vas-y, passe
aux actes si tu oses !".
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