Avec les marxistes, vivre en paix, tout simplement, est un
délit !
Ils ne supportent pas la vie privée, la joie de vivre,
le bonheur tranquille de profiter un peu du fruit de longs
efforts, le jardin secret.
Le marxiste, c'est le gâte-sauce universel, qui vous
tire par la manche au nom des "pauvres'' qu'il prétend
défendre, et qui varient selon la saison, chaque fois
que vous espériez souffler un peu. Il ne vous laisse
jamais en paix, de la naissance à la tombe ! c'est
«l'esprit qui nie» de Faust.
Même les curés de naguère savaient oublier
la vallée de larmes de temps en temps, accepter un
peu de détente, de rires, d'insouciance... C'est pour
ça qu'ils réussissaient à merveille leurs
"colonies de vacances" incomparablement mieux que "la laïque".
J'en atteste, j'ai été envoyé aux deux
: y avait pas photo !
Le marxiste ne rit jamais, sauf quand il dirige l'instruction
du procès que ses amis vous ont fait.
Ce qui rend le marxisme-léninisme-trotskysme-gauchisme
si redoutable, si difficile à éradiquer (comme
toutes les maladies graves), c'est sa décourageante
capacité à muter, comme certains rétrovirus.
Quand on vous dit qu'il est mort quelque part, vous pouvez
être sûr que c'est parce qu'il a enfanté
une variante encore plus chiante pour prendre le relais.
La souche actuelle de cette calamité est l'immigrationnisme.
Oubliant ses anciennes amours avec l'hitlérisme et
tout ce qui va avec, notamment l'antisémitisme sous
sa forme la plus insoutenable, le marxisme-léninisme
actuel s'est reconverti dans l'humanitaire, la «défense
de la Mémoire» et la discrimination positive en
faveur de l'immigré non-européen. L'ouvrier
européen n'en veut plus, de sa saloperie d'idéologie
? Qu'à cela ne tienne, on casse la baraque en déclarant
"juste et moral" d'ouvrir grand les frontières à
"toute la misère du monde'' ! De pauvres hères
sans instruction, sans culture, donc perméables à
toutes les démagogies, feront une nouvelle clientèle
docile, une nouvelle chair à canon pour les combats
"de classe" à venir ! La défunte lutte des classes
remplacée par la lutte des races au nom de l'universalisme
socialiste, tel est le dernier avatar à la mode des
gauchos ! Vous allez voir qu'ils vont faire alliance avec
les fascistes "Verts" !
Autre mutation : l'éducation-instruction. Il y a de
cela quarante ans, les communistes affectaient de considérer
l'instruction, la vraie, comme émancipatrice. Et de
vanter les avancées de la science, le progrès
matériel et moral grâce à l'intelligence,
etc. C'était l'époque où on citait volontiers,
dans les réunions de cellule, la célèbre
définition du communisme de Lénine : «Le
communisme, c'est les soviets plus l'électricité».
Aujourd'hui, aux orties, tout ça ! L'instruction, la
haute science ! Mais c'est bourgeois ! C'est une injure aux
pauvres miséreux du tiers-monde, qui ont autre chose
à foutre qu'étudier !
Les communistes le cachent tant qu'ils peuvent, mais ils
ne peuvent plus aligner un seul intellectuel présentable
dans les sciences exactes... Rien que des seconds couteaux
aigris, arrivés par la brosse à reluire socialocommuniste
réciproque ! Ceux qui travaillent pour de bon les ont
fuis depuis longtemps !
La meilleure preuve ? Le refus des maires de Grenoble et
de St-Martin d'Hyères de faire le ménage sur
le campus de l'université Joseph Fourier, qui vient
d'être déclarée "zone de non-droit" dans
la presse par le Président de l'Université lui-même...
Ce n'est donc pas le grand amour avec les hauts universitaires,
pas vrai ?
Mais que veulent-ils, à la fin, tous ces flics marxistes
?
Je l'ai déjà expliqué : LE POUVOIR,
TOUT LE POUVOIR !
Ils ont récusé la dictature du prolétariat,
mais pas la dictature tout court. Ce qu'ils veulent passionnément,
jusqu'à leur dernier souffle, c'est l'instauration
d'une dictature absolue dans une société d'où
aura disparu toute propriété privée.
Eux et leurs séides, aux postes de commandement. Les
autres devront tout à l'Etat, forcés de ramper
devant les fonctionnaires marxistes, de ramper pour être
logés, de ramper pour avoir un emploi (de misère,
mais un emploi), de ramper pour simplement manger, boire et
même respirer. Avec une surveillance continue et totale
de la pensée, de la parole, de l'écrit, des
fréquentations, des distractions : à la première
velléité d'indépendance, le camp de rééducation
ou l'asile.
Rien n'a changé depuis ce que raconte Soljénitsine
dans "l'Archipel du Goulag", qui décrit de façon
terrifiante comment les criminels de droit commun étaient
utilisés par le pouvoir pour détruire moralement
et physiquement les honnêtes gens que l'on avait criminalisés
en leur collant l'étiquette "bourgeois" ou "réactionnaire".
La seule minuscule modification, c'est que les "droit commun",
plutôt que de les recruter exclusivement dans la population
locale, les néocommunistes vont les chercher aujourd'hui
sur l'ensemble de la planète !
Voilà qui permet de comprendre ce qui paraît
à première vue incompréhensible : ce
refus désespérant de faire appliquer la loi,
LA LOI EGALE POUR TOUS, SANS DISTINCTION DE RACE ET DE RELIGION,
sur la totalité du territoire encore officiellement
français. Je le répète, ces ordres de
laisser filer, de ne pas réagir, de limiter ou carrément
refuser les plaintes, ces délinquants relâchés
à peine sont-ils présentés à la
"Justice", ne viennent pas d'en bas, ne sont pas le fait des
"caïds". Ils viennent d'en haut, des politiques, des
politiciens et gens de justice marxistes. Ce qui fait litière
de toutes les théories tendant à expliquer cette
délinquance par la race des délinquants ! Car
ces ordres de NE PAS APPLIQUER LA LOI ne concernent que CERTAINES
POPULATIONS, celles qui sont considérées comme
les plus efficaces pour détruire l'actuelle société.
AVEC LES POPULATIONS ASIATIQUES, LA LOI EST APPLIQUEE COMME
AVEC LES FRANÇAIS "DE SOUCHE", ce qui explique pourquoi
ces populations ne sombrent pas dans la délinquance.
La délinquance que nous voyons est voulue, et elle
est voulue par les fanatiques marxistes. Tout le reste n'est
que littérature ou basse provocation policière.
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