La chute du "mur de la honte" en novembre
1989 fut ressentie à travers le monde comme un
souffle de liberté puisqu'il annonça la
mort du communisme et donc la fin de l'oppression tyrannique.
Ce sentiment de libération n'a été
cependant que de courte durée puisqu'on a pu
constater, avec effroi, que des peuples, comme les cubains,
les coréens, les chinois et les vietnamiens vivaient
encore sous le seau de la folie criminelle du communisme.
De plus, des partis communistes jouent encore un rôle
non négligeable dans la vie politique de certains
pays occidentaux, constituant un grave danger pour la
liberté. En France, les communistes possèdent
un poids colossal sur la vie politique et se trouvent
à la tête de ministères. La coalition
socialocommuniste établie en France, contrairement
à ce que certains pourraient croire, n'est nullement
contre nature. En effet, le PS se revendique du socialisme
et non de cette sociale-démocratie, revendiquée
en France par l'UDF, qui avait courageusement tenu tête
aux communistes allemands dans les années 30
qui les considéraient comme des "sociaux-traîtres".
Les socialistes et les communistes français possèdent
les mêmes références (ils étaient
regroupés jusqu'en 1920 dans le même parti,
la SFIO). La divergence principale entre ces deux idéologies
s'exprime sur le plan économique. Les socialistes
optent pour le maintien d'une administration étatique
qui impose ses directives au monde de l'entreprise dans
une économie capitaliste tandis que les communistes
optent pour la collectivisation étatique de tous
les organes de productions. Parmi les diverses alliances
historiques entre les socialistes et les communistes,
on peut relater la formation du front populaire en 1936,
"l'accord commun" en 1972.
Sous le voile d'une prétendue défense
des droits de l'homme, les révolutionnaires,
dont les socialocommunistes s'affirment être les
successeurs, instaurèrent un véritable
terrorisme d'état, qui coûta la vie à
des centaines de milliers d'innocents, et appliquèrent
la persécution religieuse à son paroxysme,
excités par leur haine fanatique à l'égard
de tous ce qui se rapportent de près ou de loin
à la religion. Aujourd'hui, la politique des
socialocommunistes est présentée par eux-même
sous le prétendu visage de la démocratie
et de la liberté. Il n'en est rien. Les jugements
d'organismes ¦uvrant pour le respect de la démocratie
attestant cet état de fait sont regroupés
dans la section bilan tandis que une liste non-exhaustive
des atteintes à la liberté est dévoilée
dans la section Actes liberticides. Pour mieux les connaître,
des informations sur leurs passés ainsi que sur
leurs journaux, associations, sections paramilitaires,
syndicats sont mises à la disposition du visiteur.